Les patient·es migrant·es présentent des défis thérapeutiques particuliers pour les professionnel·les de la santé psychique. Outre les difficultés de communication liées aux différences de langue ou de comportement, la définition du diagnostic même présente des obstacles très spécifiques. Ces derniers sont augmentés par la présence de syndromes post-traumatiques alliés à des comportements relevant d’attitudes inhabituelles pouvant s’expliquer par les contextes culturels d’origine.
Médecins psychiatres, médecins généralistes, psychologues et psychothérapeutes.
Groupe de 6 participant·es minimum, et de 16 participant·es maximum.
Exposé interactif, études de cas, partage de pratiques, témoignages de médiatrices interculturelles. Les participant·es sont amené·es à échanger, partager leurs expériences et leurs regards. Le contenu transmis est adapté aux apports des participant·es et, dans la mesure du possible, aux besoins exprimés.
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