Depuis 25 ans, les professionnel·les des services de santé, sociaux ou de l’éducation font appel à des interprètes communautaires lorsqu’aucune langue n’est suffisamment partagée pour pouvoir s’entretenir avec les personnes qui les sollicitent. Aussi, devenu progressivement l’un des piliers de la politique d’intégration au niveau national, l’interprétariat communautaire n’œuvre-il pas aussi comme un incroyable catalyseur de reconnaissance de la diversité culturelle et linguistique ?
Lorsqu’il s’agit d’inclusion des personnes issues de la migration, comment se confrontent les valeurs données à la langue ou à sa langue ?